Ce qu'il faut savoir sur l'artiste
β¨ Biographie de Bouille Jakies
Bouille Jakies est une artiste autodidacte, née d’un crayon et d’un silence.
Très jeune, elle découvre une passion pour le dessin et l’écriture. Rêveuse, observatrice, elle grandit bercée par les chants d’oiseaux et les paysages du Nord de la France. Ses cahiers deviennent des îles secrètes, peuplées de poèmes et de visages.
Puis la vie la bouscule. Elle oublie un temps ce qu’elle aimait.
Mais un jour, elle reprend un crayon. Un visage naît, imparfait mais vibrant. L’envie revient.
En décembre 2020, elle partage ses premières œuvres sur les réseaux sociaux. Les retours sont doux, sincères. Elle décide de continuer.
En 2021, elle travaille sans relâche : ombrage, portrait, peinture, croquis.
Sa communauté grandit. Elle doute, souvent. Elle pense arrêter.
Mais quelque chose en elle résiste. Une flamme. Une nécessité.
Elle ouvre sa micro-entreprise. Elle devient officiellement dessinatrice, portraitiste et peintre.
Son style est instinctif, expressif, profondément émotionnel.
Ses croquis rapides — les “CROCCROC” — capturent l’instant, la joie, la tristesse, la vérité nue.
Son art est un combat. Une offrande. Une quête.
Elle choisit l’anonymat, par fidélité à son essence.
Elle observe, elle écoute, elle crée.
Elle refuse la facilité, la démonstration. Elle peint ce qu’elle ressent, pas ce qu’on attend.
En 2023, elle explore le réalisme, sans chercher la perfection.
Pour elle, l’illustration est une émotion transmise, un regard offert.
Elle croit en l’art comme trace, comme mémoire, comme passage.
“J’ai eu peur… une fois. Pas quand on m’a demandé de l’argent.
J’ai eu peur quand j’ai cru que je devrais tout arrêter.
Mais je ne veux pas arrêter. J’aime ce que je fais.
J’aime être Bouille Jakies. Cela ne s’achète pas. Cela se vit.”
Bouille Jakies est une artiste peut-être trop généreuse, mais certainement pas naïve.
Elle ne réclame pas. Elle ne marchande pas.
Pour elle, une œuvre ne s’achète pas : elle se choisit.
Si un regard s’émerveille, si un cœur s’émeut, alors l’œuvre trouve son foyer.
Sa valeur ne se mesure pas en chiffres, mais en frissons.
Un “Croccroc” — quelques coups de crayon — peut contenir plus d’émotion qu’un portrait réaliste travaillé des heures.
Un pastel doux peut sembler fade face à un abstrait vibrant.
Un tableau impressionniste peut éveiller plus d’imaginaire qu’un dessin parfait.
La vraie valeur est celle que l’on ressent.
Bouille le sait. Elle le vit.
Chaque création est un miroir, un reflet de son âme.
Elle leur parle, elle s’attache, elle s’émerveille.
Mais elle ne revendique rien.
Elle ne commente pas le monde.
Elle ne s’exprime pas sur les débats humains.
Son art est un refuge, pas une tribune.
Est-ce une biographie que vous lisez ?
Ou un récit réaliste, une confession d’âme ?
Bouille Jakies ne fait rien au hasard.
Elle est mystérieuse, subtile, entière.
Elle ne rêve pas : elle avance, les pieds bien au sol.
Elle a testé, évalué, surpassé ses capacités.
Mais elle sait que ce n’est pas encore assez.
Elle voudrait vous offrir sa vision du monde —
Un monde beau, mais cruel.
Un monde qui ne lui fait pas de cadeaux.
Alors elle travaille. Elle persiste. Elle crée.
Sa destinée est scellée.
Chaque jour, elle fournit des efforts immenses pour atteindre ce qu’elle veut.
Elle ne se plaint pas.
Elle avance, la tête haute.
β¨ Ouverture de l’Âme – Une naissance intérieure
Ce livre n’a pas été écrit. Il a été traversé.
Il est né d’un silence, d’un trop-plein, d’un besoin vital de déposer ce qui ne pouvait plus rester à l’intérieur.
Ouverture de l’Âme est le fruit d’une lente guérison, d’un combat intime, d’une lumière retrouvée.
Bouille Jakies, artiste autodidacte, dessinait déjà des visages, des émotions, des fragments d’âme.
Mais un jour, ce n’est plus le crayon qui a parlé. Ce sont les mots.
Des textes sont venus, bruts, fragiles, vrais.
Elle ne les a pas cherchés. Ils l’ont trouvée.
Pendant des mois, elle a écrit, corrigé, effacé, recommencé.
Elle a appris les codes de l’édition, les contraintes techniques, les marges, les résolutions.
Elle a tout fait seule, ou presque.
Chaque étape a été vécue comme un rituel :
π la mise en page comme une danse,
π¨ la couverture comme un talisman,
ποΈ les légendes comme des prières.
Elle n’a rien laissé au hasard.
Elle voulait que ce livre soit beau, mais surtout vrai.
Qu’il console. Qu’il éclaire. Qu’il accompagne.
Aujourd’hui, Ouverture de l’Âme existe.
Il est là, imprimé, vivant.
Il ne cherche pas à plaire. Il cherche à toucher.
Et il le fait, page après page, avec pudeur et intensité.
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